La rencontre de Poutine et Maduro au Kremlin

  
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1.Les États-Unis

La présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, Nancy Pelosi, a annoncé mercredi la décision de lancer la procédure afin de déterminer s’il y des raisons pour déclarer la destitution à Donald Trump. «Le Président doit être responsable de ses actes. Personne n’est au-dessus de la loi», a déclaré Pelosi. Auparavant, Trump avait déclaré qu’une telle décision des démocrates, qui détiennent la majorité à la Chambre des représentants, ne le mettait pas en danger et ne contribuerait qu’à se présenter en 2020 pour un second mandat. Joe Biden, principal rival de Trump lors des prochaines élections, avait déclaré que le Président et son administration devraient fournir au Congrès des informations sur les enquêtes en cours. Dans le cas contraire, les membres du Congrès devraient engager une procédure de destitution contre le chef de l’État. Il s’agit de la transcription de la conversation téléphonique de Trump en juillet avec son homologue ukrainien, Vladimir Zelensky.

2.La Russie

Le Président russe, Vladimir Poutine, a adressé des lettres à une dizaine de membres de l’Otan avec une proposition de moratoire sur le déploiement de missiles à portée intermédiaire et à courte portée en Europe et dans d’autres pays, rapporte le journal Kommersant, citant une source diplomatique. La lettre a été reçue par tous les membres de l’Alliance de l’Atlantique Nord, par la Chine, la ministre des Affaires étrangères de l’UE, Federica Mogherini, et le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg. Selon la source du journal, l’Alliance est convaincue que de tels missiles sont déjà déployés en Russie et n’ont donc pas pris au sérieux la proposition de Moscou.

3.L’Arabie saoudite

Riyad, de concert avec ses alliés, envisage diverses options de représailles, notamment économiques et militaires, à la suite des attaques contre des installations pétrolières saoudiennes, a déclaré le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Joubeir. Selon lui, après la fin de l’enquête, Riyad «imputera la responsabilité». Aujourd’hui, les autorités saoudiennes estiment que «l’Iran porte la responsabilité» puisqu’il s’agit «d’une arme iranienne», a rapporté Al-Hadath. Dans un proche avenir, Riyad a l’intention «d’augmenter la pression» sur Téhéran et d’envisager des options de réponse «diplomatique, économique et militaire». Al-Joubeir a déclaré que le royaume avait l’intention «d’éviter la guerre à tout prix», mais il ne «restera pas les mains liées derrière le dos pendant que les Iraniens continuent d’attaquer». Auparavant, le secrétaire d’État adjoint américain aux Affaires du Moyen-Orient avait déclaré que les États-Unis avaient l’intention de déclassifier les informations concernant l’enquête sur l’attaque contre les installations pétrolières saoudiennes.

4.Les États-Unis

L’Administration nationale de la sûreté nucléaire du Département de l’énergie des États-Unis a annoncé avoir testé avec succès une modification de la bombe nucléaire B61, qui a eu lieu en août sur un terrain d’entraînement au Nevada avec le soutien de l’Otan dans le cadre du programme de prolongation de la durée de service du B61. Le programme comprend la mise à niveau des composants de la bombe, ainsi que l’amélioration de sa fiabilité et de ses systèmes de sécurité. En 2020, il est prévu d’effectuer des tests finaux. Le brigadier général américain Ty Newman estime que la bombe modernisée devrait «renforcer la dissuasion stratégique» et «rassurer les alliés des États-Unis». Washington envisage de déployer le B61-12 sur des bases militaires en Europe, notamment en Allemagne, en Italie, en Turquie, en Belgique et aux Pays-Bas.

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