Timochenko contre les négociations avec la Russie

  
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Le secrétaire d’État américain, Mike Pompeo, a fait savoir que les États-Unis ne permettraient pas à l’Iran de continuer à développer un programme nucléaire et finir par créer des armes nucléaires, rapporte TASS. Répondant à la question de savoir si les autorités américaines auraient des informations selon lesquelles l’Iran pourrait progresser dans le développement des armes nucléaires, Pompeo a affirmé que les menaces émanant de l’Iran depuis ces dernières semaines n’étaient pas liées au programme nucléaire de Téhéran. L’ayatollah Ali Khameneim, actuel guide suprême de la Révolution islamique, a déclaré à la veille qu’il ne croyait pas en la mise en œuvre du Plan d’action global commun sur le programme nucléaire de Téhéran.

Un groupe de radicaux, composé d’anciens membres de groupes armés qui s’étaient rendus auparavant à l’armée gouvernementale dans le sud de la Syrie, a attaqué une base militaire dans le village de Jilin, à proximité de Deraa, chef-lieu du gouvernorat éponyme, rapporte TASS citant le portail d’informations Al-Masdar. Selon une source du portail, les radicaux ont établi le contrôle de la base militaire et se sont emparés du quartier général, prenant en otage un groupe d’officiers. En échange des otages, ils ont exigé des autorités syriennes de libérer leur ancien commandant Haysam al-Hariri, qui avait été arrêté par les services de renseignement de l’armée. Le commandement des forces armées syriennes n’a pas encore commenté les événements de Jilin.

En lançant un ultimatum à la Turquie, les États-Unis ont pratiquement reconnu leur échec dans les négociations avec la Turquie sur les systèmes de missiles anti-aériens russes S-400. Pour rappel, les États-Unis ont donné deux semaines à la Turquie pour renoncer à l’achat du système de défense antiaérien S-400 à la Russie. Dans le cas échéant, Washington a promis d’exclure Ankara du programme de production des avions de combat F-35. Les États-Unis utilisent cet ultimatum en tant que prétexte pour imposer des sanctions, dont des sanctions économiques, qu’ils avaient menacées d’introduire contre la Turquie ces derniers mois. Malgré cela, Ankara a déclaré que l’accord S-400 avait été finalisé et n’était pas susceptible de révision.

La Première ministre britannique, Theresa May, a annoncé qu’elle quitterait le 7 juin son poste de chef du Parti conservateur, rapporte RIA Novosti. Elle a été contrainte de faire l’annonce correspondante par les membres de son parti, dont les membres du Cabinet, insatisfaits du nouvel accord avec l’Union Européenne sur le Brexit présenté en mai. Le processus d’élection d’un nouveau chef commencera officiellement après le 7 juin, bien que le principal candidat actuel, l’ancien ministre des Affaires étrangères Boris Johnson, ait déjà annoncé son intention de se présenter lui-même. L’ancien leader de la Chambre des communes, Andrea Leeds, examine aussi cette possibilité. Parmi les candidats potentiels figurent également le ministre des Affaires étrangères, Jeremy Hunt, et le ministre de l’Intérieur, Sajid Javid. Theresa May exercera les fonctions de Première ministre jusqu’à ce qu’un nouveau chef ne soit élu, ce processus prenant habituellement environ six semaines.

Londres ne reconnaît pas la revendication de souveraineté de Maurice sur l’archipel des Chagos et exprime sa déception face à la discussion de cette question à la Cour internationale de Justice et à l’Assemblée générale des Nations Unies, selon le ministère britannique des Affaires étrangères. Le représentant de la diplomatie britannique a souligné que le statut de la région en tant que territoire britannique, ainsi que les installations militaires communes du Royaume-Uni et des États-Unis dans l’océan Indien, étaient importants pour maintenir la sécurité contre le terrorisme, le crime organisé et la piraterie. Et de rajouter que l’archipel des Chagos est sous domination britannique permanente depuis 1814. «Maurice n’a jamais eu la souveraineté sur ce pays et nous ne reconnaissons pas les revendications. Cependant, depuis 1965, nous nous sommes engagés à long terme à transférer la souveraineté sur сe territoire à Maurice, quand il ne sera plus nécessaire à des fins défensives. Nous remplissons cet engagement », a-t-il déclaré.

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