Attaque de roquettes contre Damas
1. Syrie
Le système de défense antiaérienne syrienne a repoussé une série d’attaques de roquettes effectuées par la partie israélienne dans les environs de Damas, a rapporté l’agence Sana. Selon elle, les attaques provenaient depuis les hauteurs du Golan ainsi que depuis la Galilée. Il est à noter que la défense aérienne syrienne a réussi à abattre la plupart des missiles. Aucune information quant aux victimes ou aux dégâts n’a été signalée.
2. Syrie
«Des radicaux de groupes armés illégaux se préparent à mener une provocation afin d’accuser par la suite les forces gouvernementales syriennes de frapper des localités dans la zone de désescalade d’Idlib», a déclaré, lors d’un briefing, le contre-amiral Vyacheslav Sytnik, chef adjoint du Centre russe pour la réconciliation des parties belligérantes en Syrie. Selon lui, l’activité des radicaux du groupe terroriste Hayat Tahrir al-Cham, (interdit en Russie), a été enregistrée dans la zone du village de Foua, dans le gouvernorat d’Idlib. En outre, a déclaré M.Sytnik, un groupe d’activistes de l’organisation pseudo-humanitaire «Casques blancs» est arrivé sur les lieux avec du matériel professionnel pour le tournage vidéo. Le haut-gradé a souligné que le Centre russe pour la réconciliation des parties belligérantes en Syrie appelait les commandants des groupes armés illégaux à arrêter les provocations armées et à s’engager sur la voie d’un règlement pacifique de la situation dans les zones sous leur contrôle.
3. Syrie.
La coalition antiterroriste internationale dirigée par les États-Unis a commencé à équiper une nouvelle base militaire dans le nord de la Syrie, a rapporté la chaîne de télévision Al Hadath. Il est précisé que la base serait située près de la frontière syrienne avec la Turquie et l’Irak. La construction se poursuit près de la colonie d’Ain-Diwar, dans le gouvernorat de Hassaké. Auparavant, un convoi de la coalition comprenant 50 camions était parti pour la région. Le convoi est entré dans le gouvernorat de Hassaké depuis le territoire irakien. Alors qu’il y a environ huit bases américaines dans le nord-est de la Syrie, les plus grandes d’entre elles sont situées à proximité des régions pétrolifères, notamment à Rmelan et Al-Chaddadeh.
4. Libye.
Dimanche, le chef du gouvernement d’accord national libyen, Fayez el-Sarraj, a quitté la Libye, a rapporté la chaîne de télévision Al Arbaiya en citant des sources. Selon le portail Al Marsad, el-Sarraj a confié la direction du Conseil présidentiel au vice-Premier ministre Ahmed Miitig. Le portail a ainsi cité un document indiquant qu’el-Sarraj chargeait Miitig «d’accomplir les tâches et devoirs du chef du Conseil présidentiel du gouvernement d’accord national libyen dès e 14 février 2021 jusqu’à son retour d’un voyage». Cependant, un certain nombre d’analystes politiques libyens estiment qu’el-Sarraj ne reviendra plus dans le pays, car il n’avait jamais assigné personne pour se remplacer pendant ses voyages.
5. Russie — Union européenne
À l’issue des discussions avec son homologue finlandais, Pekka Haavisto, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a déclaré que la Russie était prête à discuter avec l’Union européenne de tous les problèmes qui se sont accumulés dans leurs relations. Cependant, le diplomate a souligné que le cadre des relations avait été volontairement détruit à l’initiative de Bruxelles. M.Lavrov a également souligné que la Russie serait prête à rétablir les relations avec l’Union européenne si Bruxelles décidait que les relations devaient être rétablies et annulait les actions visant à les rompre.
6. Russie
Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, a déclaré que Moscou avait discuté avec Washington et Pékin de l’initiative de la Chine de tenir une réunion multilatérale pour ramener les États-Unis à un accord nucléaire avec l’Iran et pourrait y participer. M.Riabkov a rappelé que le 21 février, la loi adoptée en Iran sur l’arrêt par Téhéran de la mise en œuvre d’un protocole additionnel avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), si les États-Unis ne lèvent pas les sanctions, entre en vigueur. «Nous appelons les États-Unis à faire preuve de volonté politique et à envoyer un signal à l’Iran et aux autres membres de la communauté internationale sur sa volonté de revenir à l’accord de Vienne sur le nucléaire iranien. Pour ceci, il serait important de commencer à lever toutes les sanctions, qui constituent l’essence de la politique de pression dite maximale sur l’Iran pendant l’administration [de l’ancien président américain Donald] Trump», a déclaré M.Riabkov. Il a également noté que la réunion proposée par Pékin sur le retour des Etats-Unis à l’accord atomique pouvait être organisée rapidement si toutes les parties le souhaitent.
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