Crash d’avion dans le nord de l’Iran

1.Etats-Unis

S’exprimant lors du débat politique général de la 75e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, le chef du gouvernement d’accord national libyen Fayez el-Sarraj a déclaré que les parties au conflit en Libye ne seraient pas en mesure de parvenir à un cessez-le-feu long et durable sans le retrait des mercenaires étrangers du territoire du pays. Et d’ajouter que le gouvernement d’accord national restait attaché à des moyens pacifiques de résoudre le conflit et à un dialogue constructif comme seul moyen de sortir de la crise actuelle et qu’il attendait la coopération du gouvernement dans l’est du pays. «Cependant, jusqu’à ce que nous ne voyions la coopération, nous ne remarquons des violations que des formations armées qui opèrent sous la direction de l’agresseur», — a-t-il fait savoir.

2.Iran

Deux pilotes ont été blessés dans un crash d’avion monomoteur d’entraînement dans le nord de l’Iran, a rapporté vendredi l’agence Tasnim. L’accident s’est produit dans la région de la ville de Nazarabad, dans la province d’Alborz. Les deux pilotes ont été transportés à l’hôpital. Les raisons de l’accident font l’objet d’une enquête.

3.Etats-Unis

Un groupe de sénateurs américains des deux parties a proposé d’imposer des sanctions aux responsables russes en relation avec la situation avec Alexei Navalny, indique le site du sénateur américain du Parti démocrate Christopher Coons. Ce projet de loi suggère la possibilité «d’imposer des sanctions contre des responsables russes» sous prétexte qu’ils pourraient être liés à certains cas de «violation du droit international». Parmi eux, les législateurs appellent «l’empoisonnement récent» de Navalny. Les noms et fonctions des personnes contre lesquelles des sanctions peuvent être imposées n’ont pas été précisés. Les mesures possibles comprennent un «gel des avoirs» et un refus de délivrer des visas. Il est également rapporté que les sénateurs ont demandé à l’administration américaine un rapport sur les affaires financières de Vladimir Poutine et de son «cercle restreint», dont des membres de sa famille. Les auteurs du projet de loi espèrent que Washington évaluera si des sanctions contre la Russie peuvent être imposées sous prétexte de violer les lois sur le contrôle des armes chimiques et biologiques.

4.Etats-Unis

S’exprimant lors du débat politique général de la 75e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, le Président yéméniteAbdrabbo Mansour Hadi a déclaré que la communauté mondiale devrait faire pression sur les rebelles Houthis et leurs alliés en Iran. Selon le Président, «les efforts de l’ONU ont été accueillis par les Houthis avec intransigeance et massacres de civils». Il a également lancé un appel aux Nations unies pour soutenir le programme économique du gouvernement visant à assurer la stabilité des citoyens de la république. «La guerre imposée à notre peuple a provoqué une catastrophe humanitaire et divisé la société yéménite», a-t-il souligné.

5.Russie — Iran

Les ministres russe et iranien des Affaires étrangères ont discuté jeudi du Plan d’action global conjoint (JCPOA) sur le programme nucléaire iranien. «Nous avons fait remarquer le rôle très important et clé de la Russie dans la préservation de ce plan», a déclaré Mohammad Javad Zarif. Il a également attiré l’attention sur «les efforts illégaux entrepris par les États-Unis», soulignant que Washington «abuse des mécanismes du Conseil de sécurité de l’ONU». Et de souligner le rôle important de la Russie et de la Chine au Conseil de sécurité de l’ONU. À l’issue des entretiens, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré que la Russie et l’Iran avaient confirmé leur volonté de poursuivre une coopération étroite au format Astana sur la Syrie. Le chef de la diplomatie russe a pointé sur la position commune de Moscou et de Téhéran selon laquelle toute tentative d’acteurs extérieurs de se trouver sur le territoire syrien sans le consentement des dirigeants de la république et d’y promouvoir des humeurs séparatistes est catégoriquement inacceptable.