En Libye, un mandat d’arrêt émis contre Haftar
Le procureur militaire du ministère de la Défense du gouvernement d’union nationale de la Libye a émis un mandat d’arrêt contre le maréchal Khalifa Haftar, commandant en chef de l’armée nationale libyenne qui mène une offensive contre Tripoli, rapporte le gouvernement d’union nationale. F Auparavant, ce dernier a ordonné l’arrestation de Haftar. À Tripoli, il est accusé de la mort de civils.
2. L’Ukraine
Les participants du groupe de contact sur le règlement pacifique dans le Donbass n’ont pas été en mesure de convenir d’un cessez-le-feu global et stable, a déclaré le représentant plénipotentiaire de la Russie, Boris Gryzlov. Le ministère des affaires étrangères de la République populaire autoproclamée de Donetsk a souligné que Kiev avait refusé l’accord. «Malheureusement, les discussions n’ont pas abouti. Kiev a refusé de prendre des mesures supplémentaires pour renforcer le cessez-le-feu, qui visent à assurer une sécurité durable et la transition vers un règlement politique. Les propositions de Donetsk et Lougansk, qui ont été soutenues par la Russie et précédemment soutenues par l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe, ont été rejetées», a déclaré le représentant de la Russie, cité par TASS.
3. La Serbie
Dans une interview à Izvestia parue vendredi, le ministre serbe des Affaires étrangères, Ivica Dačić, a déclaré que la Serbie n’introduirait pas de mesures restrictives contre la Russie, malgré une forte pression extérieure. Le chef de la diplomatie serbe a souligné que l’intention de la Serbie d’entrer dans l’Union européenne n’empêcherait pas le développement des relations avec la Russie. Il a fait remarquer que Moscou aidait Belgrade à défendre les intérêts nationaux, y compris dans la question du Kosovo, et «il serait, pour le moins, très incorrect d’imposer des sanctions à la suite des pays occidentaux».
4. La France — L’Estonie
Dans le cadre de la mission de l’Otan visant à renforcer la présence militaire de l’Alliance dans les pays baltes et en Pologne, le 23 avril la France enverra en Estonie près de 300 militaires, quatre chars et vingt véhicules d’infanterie, indique une déclaration publiée sur le site de l’ambassade de France en Estonie. Le contingent comprendra des soldats de la deuxième brigade de l’armée française et des mercenaires de la Légion Étrangère. Les militaires et le matériel seront déployés dans la ville de Tapa, qui se situe à seulement 140 kilomètres de la frontière russe. Comme l’a fait remarquer l’ambassade française, les militaires resteraient en Estonie jusqu’en août. Auparavant, le Royaume-Uni avait envoyé en Estonie cinq hélicoptères Apache en tant que moyen de dissuasion «d’une agression très probable» de la part de la Russie.
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