La Russie a élargi la zone de patrouilles en Syrie

1.Syrie.

La police militaire russe a élargi la zone de patrouille en Syrie, faisant de la base américaine abandonnée de Sirin un point de contrôle, a déclaré à RIA Novosti l’officier de la police militaire, Safar Safarov. «Depuis le départ des Américains, nous contrôlons l’ensemble du territoire du canton de Manbij et de ses environs», a-t-il fait savoir. Le commandant de l’aérodrome de Metras a déclaré que les travaux d’ingénierie et l’aménagement du territoire pour le personnel étaient en cours.

2.Turquie.

Le ministre turc de la Défense, Hulusi Akar, a annoncé la création d’une zone de sécurité dans le nord de la Syrie d’une longueur de 145 km et d’une largeur de 30 km, selon la chaîne de télévision NTV. Et de poursuivre, que «dans le secteur de l’opération Source de la Paix, des attaques sont menées de l’est et de l’ouest. Pour les empêcher, nous négocions avec nos collègues russes».

3.Bolivie.

Huit personnes sont mortes à la suite du déblocage de la raffinerie d’El Alto, a confirmé l’Institut d’études judiciaires de Bolivie. L’ancien Président Evo Morales a condamné les forces armées boliviennes et a rappelé que les normes internationales étaient plus strictes que le décret du gouvernement intérimaire, les exonérant de toute responsabilité pour la dispersion des manifestations. Auparavant, le 17 novembre, la Présidente par intérim, Jeanine Anez, avait publié un décret exemptant les forces armées de toute responsabilité pénale pour rétablir l’ordre. Cette décision a été condamnée par les organisations internationales et les opposants politiques. Selon des informations officielles, depuis le 20 octobre en Bolivie, 23 personnes sont mortes, 715 autres blessées lors des manifestations.

4.Géorgie.

Dans la nuit du mercredi au jeudi, le tribunal de la ville de Tbilissi s’est prononcé sur une arrestation administrative d’une durée de 5 à 13 jours pour dix manifestants arrêtés le 18 novembre près du bâtiment du Parlement. L’un d’entre eux a été condamné à une amende et un autre a été relâché. Au total, 37 personnes ont été arrêtées au cours d’une manifestation devant le parlement à Tbilissi pour hooliganisme et désobéissance de la police. L’examen d’autres 25 affaires se poursuivra jeudi, a rapporté la chaîne géorgienne First Channel.