Les Etats-Unis sont responsables de la dissolution du Traité FNI
Le ministère de la Défense russe a accusé les Etats-Unis de mise au point d’un nouveau missile basé au sol encore au temps de la validité du Traité FNI. « Les accusations sans fondement contre la Russie qui aurait violé le Traité FNI n’était qu’un prétexte pour la sortie des Etats-Unis de l’accord. Encore au temps de sa validité les Etats-Unis mettait au point activement un missile basé au sol d’une portée interdite », — dit le message de l’institution. « Le fait que les Etats-Unis ont testé le 18 août 2019 des missiles à l’aide d’une installation de lancement universelle Mk-41, utilisée dans le système de la défense antiaérienne en Roumanie et en Pologne a confirmé la justesse des prétentions russes à l’égard de la Maison-Blanche concernant la possibilité de leur emploi pour le lancement des missiles de courte et moyenne portée basés au sol », — a noté le ministère. On souligne que ce sont les Etats-Unis qui sont responsables de l’échec du Traité FNI alors que la Russie n’a pas testé et ne dispose pas de missiles de courte et moyenne portée.
La Rada Suprême a approuvé en première lecture le projet de loi présenté par le président Vladimir Zelensky sur les mesures de préparation de l’Etat à la transition à l’état de guerre et à « la résistance à l’agression armée ». On précise que le projet est conçu par le ministère de la Défense de l’Ukraine dans le cadre de réalisation d’un point du « Plan des premières mesures visant l’introduction et l’assurance du régime juridique de l’état de guerre dans certaines régions d’Ukraine », approuvé le 27 novembre 2018. Dans le cas de l’approbation finale, le document permettrait à fixer législativement la nécessité d’élaborer et approuver le Plan de défense de l’Ukraine par le président.
Les forces armées turques sont entrées sur le territoire des gouvernorats du nord de la Syrie pour créer avec les États-Unis une «zone démilitarisée». Selon les projets d’Ankara et de Washington, les forces armées des deux pays patrouilleront sur une zone de 2.000 km et d’une profondeur de 20 km, ce qui protégera les frontières turques des bandes armées opérant en Syrie. En même temps, les États-Unis et la Turquie agissent sans coordination avec l’armée russe et les autorités syriennes. Il s’agit en fait d’une agression contre un pays souverain. Pendant plusieurs années, la «question kurde» est restée une pierre d’achoppement entre les États-Unis et la Turquie. Les Kurdes syriens, qui bénéficient du soutien militaire des États-Unis pour lutter contre les terroristes, sont considérés à Ankara comme une menace potentielle. Une partie du territoire syrien est sous le contrôle des Unités de protection du peuple kurdes pro-américaines et personne n’empêche ces forces de franchir la frontière et de faire la guerre avec les Turcs à l’aide des armes américaines.
La Corée du Nord a effectué de nouveaux tirs, lançant mardi deux missiles non identifiés à destination de la mer du Japon, selon le communiqué du comité des chefs d’état-major de la Corée du Sud. Les missiles lancés vers l’est depuis l’intérieur de la province nord-coréenne de Pyongyang du Sud ont parcouru environ 330 km. Il est à noter que les services de renseignement sud-coréens et américains examinent le type exact de missiles tirés. Des militaires sud-coréens ont également appelé le nord à «mettre immédiatement fin aux actions qui augmentent la tension». C’est le huitième tir de missile de ce type depuis un mois et demi et le dixième depuis mai.
Dans un interview accordé au journal « Troud » le ministre des Affaires étrangères russe Sergueï Lavrov a déclaré que la guerre en Syrie était finie. « En fait, la guerre en Syrie est finie. Le pays revient à la vie normale et paisible », — a-t-il dit. Lavrov a noté que sur les territoires non-contrôlés par le gouvernement syrien dont Idleb et la rive droite de l’Euphrate des foyers de tensions persistaient. Selon le ministre, le pays s’est engagé dans le procesuss de réconstruction et maintenant l’aide humanitaire et l’avancement du processus politique du règlement de la crise sont au premier plan. Lavrov a souligné que la formation et le lancement du comité pour la réforme constitutionnelle serait une étape importante dans la progression du processus politique. Selon le chef de la Diplomatie, la convocation du comité permettrait au gouvernement et à l’opposition à commencer pour la première fois un dialogue direct sur l’avenir de la Syrie.
Для того чтобы оставить комментарий, регистрация не требуется