Les militaires américians sont retournés en Syrie
1 Syrie
D’après des médias, les militaires américains qui avaient été retirés de 16 bases et postes de contrôle en Syrie après le début de l’opération turque « Source de paix », sont retournés à six bases. Ils se fixent dans le nord-est de la Syrie, près de la frontière avec la Turquie et l’Irak dans les zones riches en pétrole. Actuellement les militaires américains sont disloqués à onze bases et postes en Syrie, dont cinq se trouvent à Hassaké, quatre – à Deir ez-Zor et deux – à Raqqa. Dans le gouvernorat de Deir ez-Zor les militaires américains construisent deux nouveaux postes de contrôle.
2 Etats-Unis
Mercredi, à la chambre des représentants des débats se dérouleront sur le projet de loi qui prévoit la destitution du président américain Donald Trump. Les débats ne vont pas durer plus de six heures. C’est la décision prise le soir de mardi par le comité de la chambre sur le règlement après plus de neuf heures de discussions. Dans sa lettre à la présidente de la chambre Nancy Pelosi Trump a qualifié la procédure de destitution d’ « une tentative illégale d’un coup d’Etat ».
3 Inde
Les autorités de New-Delhi ont interdit, mercredi, tous rassemblements dans le district du nord-est de la ville. Plus tôt des émeutes de masse et des protestations y avaient eu lieu contre la nouvelle rédaction de la loi sur la nationalité indienne. Selon la chaîne NDTV, les mesures visent à prévenir de nouvelles manifestations. Dans d’autres districts des mesures de sécurité sont également consolidées. Des patrouilles policières renforcées sont en garde aux carrefours et aux places.
4 Corée du Sud
Le journal sudcoréen Joong-ang Ilbo citant des sources au sein du gouvernement informe qu’en février 2020 la Corée du Sud pourrait participer à la coalition internationale qui assurerait la sécurité de la navigation dans le détroit d’Ormuz. La décision a été prise mardi par l’administration du président Moon Jae-in au cours de la réunion du conseil de la sécurité nationale. La Corée du Sud a déjà averti les Etats-Unis de sa participation, en entamant la réflection sur les détails du déploiement de ses troupes.
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