Retrait des troupes étrangères d’Afghanistan

  
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1.12h00
Afghanistan

Les talibans prévoient de retirer les troupes étrangères d’Afghanistan d’ici la fin avril, a déclaré Sher Mohammad Abbas Stanikzai, porte-parole du bureau politique des talibans du Qatar. «Il ne reste que trois mois avant la date limite pour le retrait des troupes américaines et étrangères d’Afghanistan. La plupart ont été retirés, il n’en reste que quelques milliers. Nous espérons que d’ici la fin avril, ils quitteront l’Afghanistan», a-t-il dit avant d’exprimer l’espoir que «les États-Unis continueront de respecter cet accord signé à Doha». Sinon, a précisé M.Stanikzai, les talibans se battront «comme ils l’ont fait avec d’autres forces d’occupation auparavant».

2.12h00

Haut-Karabakh

Pendant leur travail au Haut-Karabakh, des sapeurs russes ont examiné une zone de plus de 120 hectares et plus de 15 000 objets explosifs ont été neutralisés, a déclaré le service de presse du ministère russe des Situations d’urgences. Un groupe pyrotechnique travaille dans le quartier de Martuni, mais le déminage se poursuit également à proximité de la colonie Afatli dans la région d’Aghdam. Il est à noter que les sapeurs russes nettoient le territoire de concert avec leurs collègues azerbaïdjanais à main et avec l’aide de deux véhicules de déminage MV-4 livrés depuis Moscou.

3.8h00

États-Unis-Syrie-Irak

La nouvelle administration américaine n’a pas précisé si les troupes américaines continueront de contrôler une partie des champs pétrolifères syriens. Le secrétaire adjoint américain à la Défense pour les affaires publiques, John Kirby, a déclaré que le but de la présence de troupes américaines en Irak et en Syrie était de continuer à faire face à la menace du groupe terroriste État islamique (interdit en Russie). Il a donc répondu à la question du rôle que jouera le contrôle d’une partie des champs pétrolifères de ce pays dans la stratégie de l’actuel gouvernement américain envers la Syrie. Auparavant, l’ancien président américain Donald Trump avait souligné que Washington avait pris le contrôle de certains champs pétrolifères dans des zones de Syrie qui ne sont pas sous le contrôle de Damas.

4.8h00

Etats-Unis

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a déclaré que l’ONU était prête à organiser une réunion sur la colonisation israélo-palestinienne. Il a souligné que l’ONU «essayait depuis longtemps d’organiser une réunion du Quatuor pour le Moyen-Orient, qui comprend la Russie, les États-Unis, l’UE et l’ONU. Cependant, comme l’a noté le Secrétaire général de l’ONU, il n’y a pas eu d’accord de tous les membres du Quatuor. Selon M.Guterres, avec le changement d’administration des États-Unis, les conditions sont réunies. «Je croit que maintenant c’est devenu possible, et vous pouvez être sûr que nous ferons de notre mieux pour organiser la reprise d’un véritable processus de paix, qui devrait être basé sur une solution à deux États et tous les accords internationaux existants», a-t-il précisé.

5.16h00

Turquie-Iran

Lors d’une conférence de presse avec son homologue iranien Mohammad Javad Zarif, le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a déclaré que les autorités turques prévoyaient d’étendre la coopération sur le règlement du conflit du Haut-Karabakh au format «3+3», lequel comprendra la Russie, l’Azerbaïdjan, l’Arménie, l’Iran, la Géorgie et la Turquie. M.Cavusoglu a souligné qu’«il est nécessaire de parvenir à un cessez-le-feu permanent en élargissant la coopération». Et de poursuivre que «la paix et la stabilité dans cette région sont dans l’intérêt de tous. Dans la plus grande mesure, elles seront bénéfiques pour l’Arménie et son peuple. Par conséquent, nous attendons de l’Arménie des mesures constructives dans cette direction», a-t-il ajouté. Auparavant, Ilham Aliyev et Recep Tayyip Erdogan avaient proposé une initiative sur un format de coopération à six sur le Karabakh. L’Iran a salué cette idée et s’est engagé à soutenir les mesures visant à consolider la paix dans la région.

6.16h00

Russie

Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, se rendra à Moscou du 4 au 6 février. Au cours de sa visite, Borrell prévoit de discuter avec le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov des relations bilatérales, de la lutte contre la pandémie, de l’accord nucléaire iranien, du conflit en Ukraine, ainsi que de l’arrestation d’Alexei Navalny. Il est à noter qu’il s’agira de la première visite en Russie du haut représentant de l’UE depuis 2017. Le communiqué de la diplomatie européenne souligne également que «la visite sera l’occasion de tenir des discussions approfondies avec Sergueï Lavrov et d’autres interlocuteurs russes avant la discussion stratégique prévue du Conseil européen sur les relations entre l’UE et la Russie».


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