Une frappe aérienne contre un centre de migrants en Libye
Une frappe aérienne contre le camp des migrants à Tajoura, banlieue de la capitale libyenne de Tripoli, a fait au moins 40 morts et 80 blessées, informe Interfax en se référant à Associated Press. Selon l’agence France-Presse, des représentants du camp imputent la responsabilité de l’attaque aux forces de l’armée nationale libyenne, dirigée par le maréchal Khalifa Haftar. Pour rappel, lundi, l’armée nationale libyenne a annoncé le début du bombardement aérien de cibles à Tripoli après une offensive non réussie de la capitale.
Dans la nuit du dimanche au lundi, des moyens de défense aérienne syriens ont repoussé une attaque aux missiles contre les villes de Damas et de Homs, selon l’agence SANA. Les missiles auraient été lancés par l’aviation israélienne depuis l’espace aérien libanais. Les frappes ont fait quatre morts et plus de 20 blessées. Comme le précise l’agence Reuters, les représentants de Tsahal ont refusé de commenter la situation. Pour rappel, l’armée de l’air israélienne frappe périodiquement des cibles en Syrie où, à leur avis, se trouvent des combattants du mouvement Hezbollah, qui soutiennent Damas, ainsi que des conseillers militaires iraniens.
Donald Trump a déclaré qu’il maintiendrait une présence de renseignement en Afghanistan, bien qu’il ait longtemps voulu retirer complètement les effectifs américains du pays, rapporte Interfax. Dans le même temps, il a souligné que les États-Unis devaient réduire considérablement le nombre de militaires en Afghanistan. Rappelons qu’en décembre, l’administration Trump avait annoncé son intention de retirer les troupes américaines d’Afghanistan, mais les législateurs républicains se sont opposés à cette proposition. L’organisation terroriste Taliban insiste également sur le retrait des troupes américaines. Fin juin, le secrétaire d’État américain, Mike Pompeo, a annoncé que les États-Unis étaient sur le point de signer un accord avec des représentants des Talibans.
Les navires russes de la flotte de la mer Noire ont entamé des manœuvres planifiées dans ses eaux, où se déroulent actuellement des exercices navals de l’Otan, selon le service de presse de la flotte. Dix navires participent aux exercices, dont ceux de débarquement Azov et César Kunikov, les corvettes Orekhovo-Zuevo et Mirage, plusieurs roquettes et d’autres navires. Les équipages procéderont à des tirs de roquettes et d’artillerie lors de l’étape finale des manoeuvres. Ils continuent également de surveiller les activités des navires de l’Otan dans le nord-ouest de la mer Noire.
Le Président turc Recep Tayyip Erdogan a qualifié de «vol» le refus éventuel des États-Unis de livrer les avions de combat de cinquième génération F-35 en Turquie, a rapporté TASS, citant la chaîne de télévision NTV. «Si vous avez un client qui vous paye régulièrement, comment pouvez-vous ne pas lui donner ce qu’il veut? Cela s’appelle un vol. Nous avons pour le moment payé 1,4 milliard de dollars. Nos militaires et nos pilotes ont été formés. Nous n’avons reçu que quatre avions, mais pas le reste», a-t-il souligné. Les tensions ont monté entre Ankara et Washington après l’acquisition par la Turquie de systèmes de missiles anti-aériens russes S-400. Auparavant, Washington avait déjà prévenu Ankara qu’en cas d’acquisition de ces systèmes, les États-Unis pourraient refuser de vendre à la Turquie les avions F-35.
Le chef de l’opposition vénézuélienne, Juan Guaido, s’est déclaré prêt à dialoguer avec le Président Maduro et à coopérer avec la Russie. Sur la chaîne de télévision France 24, Guaido a déclaré que l’opposition pouvait «négocier avec le dictateur», mais s’est prononcée en faveur de la poursuite des manifestations et de pressions diplomatiques sur Caracas. Il a également mis en valeur le rôle de médiation joué par la Norvège dans le règlement de la crise vénézuélienne, mais a affirmé que les négociations étaient dans une impasse.
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