Frappe aérienne américaine contre la Syrie

  
0

1.Syrie

Un drone américain a attaqué un poste de contrôle de l’armée syrienne près de Tal Zahab, au sud-est de la ville de Qamishli, située dans le gouvernorat syrien de Hassaké, indique l’agence Sana. Et de poursuivre que la frappe a été effectuée après que l’armée syrienne n’a pas laissé la patrouille américaine passer le point de contrôle. Un militaire syrien a été tué et deux autres blessés. Selon le journal al-Watan, un blessé est un officier. Plus tard, le ministère syrien de la Défense a fait savoir que la frappe avait été effectuée par deux hélicoptères américains. Le Pentagone a démenti toute information sur la frappe contre les positions de l’armée syrienne.

2. États-Unis — Syrie

Les États-Unis envisagent d’imposer des sanctions à un certain nombre d’entreprises qui interagissent avec les autorités syriennes, des sanctions pouvant affecter des entreprises dans les pays européens, ainsi que des particuliers au Liban et aux Émirats arabes unis, rapporte le Wall Street Journal. Citant des sources, le journal a ajouté que les États-Unis enquêtaient sur des «sociétés internationales associées au régime». Washington prévoit de couper les liens financiers entre les autorités syriennes et d’autres États. Les noms des entreprises en question ne sont pas signalées. Auparavant, le New York Times avait rapporté que Washington avait l’intention de resserrer les sanctions contre la Syrie afin de parvenir à un changement de pouvoir dans le pays, bien que de nombreux experts doutent de l’efficacité de cette approche.

3.Bélorussie

Plusieurs milliers de personnes ont pris part à un rassemblement de soutien à l’actuel Président du pays Alexandre Loukachenko s’est tenu dimanche en Biélorussie. Des manifestations de l’opposition ont également eu lieu dimanche, notamment près du centre de détention provisoire de la ville, où se trouvent des participants précédemment arrêtés lors des rassemblements de masse, précise TASS. Maria Kolesnikova, de l’état-majeur de la candidate à la présidentielle Svetlana Tikhanovskaya, a déclaré que 4.000 personnes étaient toujours détenues à la suite des manifestations. Le ministère biélorusse de l’Intérieur n’a pas confirmé cette information. La porte-parole du ministère, Olga Chemodanova, a qualifié ces allégations de «fausses», soulignant que les listes des détenus étaient affichées aux entrées du centre de détention provisoire. Lundi, dans un message vidéo publié sur YouTube, l’ex-candidate à la présidentielle Svetlana Tikhanovskaya a déclaré qu’elle était prête à devenir une dirigeante nationale. «Je suis prête à prendre mes responsabilités et à agir en tant que leader national pour que le pays se calme et revienne à un rythme normal», a-t-elle déclaré.

4.Bélorussie

Conformément au décret d’Alexandre Loukachenko du 15 août, le gouvernement a démissionné. Selon le document officiel, le Premier ministre, ses adjoints, ministres et présidents des comités d’État «ont été chargés d’exercer leurs pouvoirs jusqu’à ce que le président forme un nouveau Conseil des ministres en publiant des actes juridiques sur la nomination à ces postes». Auparavant, lors d’une réunion à Minsk le 15 août, M.Loukachenko avait fait remarquer que le gouvernement avait été presque formé. Selon ses dires, le Premier ministre Roman Golovchenko avait affirmé que le gouvernement continuerait à faire son travail jusqu’à ce qu’un nouveau soit formé.

5. Iran.

Le représentant permanent de l’Indonésie auprès de l’ONU, Dian Trianshah Jani, qui préside le Conseil de sécurité en août, a déclaré que l’organisation n’avait pas adopté la résolution américaine pour étendre l’embargo sur les armes contre l’Iran. Les États-Unis et la République dominicaine ont voté pour la résolution, la Russie et la Chine ont voté contre et 11 autres pays se sont abstenus. Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Abbas Mousavi, a souligné que «les États-Unis devraient tirer une leçon de leurs échecs». «Sinon, ils seront encore plus isolés qu’ils ne le sont maintenant», a déclaré M.Mousavi. Le Président iranien Hassan Rohani a qualifié ce résultat du vote au Conseil de sécurité de l’ONU de «grand succès». Selon le secrétaire d’État américain Mike Pompeo, Washington continuera de travailler pour décourager les ventes d’armes à l’Iran.

Для того чтобы оставить комментарий, регистрация не требуется


Читайте нас на
Присоединяйтесь к нам на нашем канале!

Читайте также:

ANNA NEWS радио
Наверх Наверх

Сообщить об опечатке

Текст, который будет отправлен нашим редакторам: