Idlib sous le feu des attaques

  
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1.Syrie

Le contre-amiral Alexander Shcherbitsky, chef du Centre russe pour la réconciliation des parties belligérantes en Syrie, a déclaré que le groupe terroriste Front al-Nosra, interdit en Russie, avait attaqué plusieurs villages du gouvernorat syrien d’Idlib. «Un bombardement de la localité de Hass et un autre de la localité de Kafranbel dans le gouvernorat d’Idlib depuis des positions de l’organisation terroriste Front al-Nosra a été enregistré», a-t-il précisé.

2.Syrie

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Verchinine, et l’envoyé spécial des États-Unis pour la Syrie, James Jeffrey, ont discuté jeudi par téléphone d’un règlement politique dans ce pays, a fait savoir la diplomatie russe. «La situation sur le terrain a été discutée, dont les tâches d’assurer la stabilisation à Idlib, dans les régions nord et dans le sud du pays», a précisé le ministère russe des Affaires étrangères. Et de rajouter que «les questions de l’avancement du processus de règlement politique de la crise syrienne conformément à la résolution 2254 du Conseil de sécurité de l’ONU, qui prévoit l’engagement en faveur de la souveraineté, de l’indépendance, de l’unité et de l’intégrité territoriale de la République arabe syrienne, ont été examinées en détail».

3.États-Unis — Libye

Au cours d’un briefing, le secrétaire d’État adjoint américain aux Affaires du Moyen-Orient, David Schenker, a déclaré que les États-Unis évaluaient positivement certaines mesures proposées pour surmonter la crise en Libye par l’initiative du Caire, mais considéraient le processus de paix parrainé par l’ONU et la poursuite de la conférence de Berlin comme le moyen le plus productif de résoudre la crise. Schenker a également fait savoir que la raison de «l’intervention turque» en Libye était la «présence russe» dans ce pays. «Nous considérons l’intervention continue d’acteurs étrangers comme un défi aux intérêts américains et à la stabilité régionale en Méditerranée orientale, ainsi qu’une tragédie pour le peuple libyen. Les Libyens veulent la paix et la fin de l’intervention étrangère», a ajouté Schenker, dont les dires ont été diffusés par le service de presse du Département d’État américain. Selon le diplomate, les États-Unis «continuent d’appeler à une désescalade, un cessez-le-feu et un retour aux négociations politiques». Les autorités russes ont nié à plusieurs reprises des allégations de présence militaire russe en Libye.

4.Afghanistan

Un engin explosif improvisé a détonné à la mosquée Sher Shah Suri, dans l’ouest de Kaboul, relate la chaîne de télévision TOLOnews, citant le ministère afghan de l’Intérieur. L’explosion a tué quatre personnes, dont l’imam. Reuters fait état d’un grand nombre de victimes.

5.Afghanistan

Le porte-parole du bureau politique qatari du mouvement radical Taliban (interdit en Russie), Suhail Shaheen a annoncé sur Twitter la libération de 76 soldats et policiers afghans précédemment capturés. «Aujourd’hui, 46 soldats et officiers de police liés à l’administration de Kaboul ont été libérés. De plus, 30 soldats appartenant à l’administration et récemment détenus à Ghazni ont été libérés en signe de bonne volonté», a-t-il déclaré. Jeudi, le Président afghan Ashraf Ghani avait déclaré que la semaine suivante aurai lieu l’annonce de nouvelles étapes vers un règlement interafghan. Le représentant spécial des États-Unis pour l’Afghanistan, Zalmay Khalilzad, a déclaré que l’administration américaine appelait les autorités afghanes et le mouvement radical taliban à achever l’échange de prisonniers et à entamer les négociations de paix dès que possible. Selon lui, le début des négociations inter-afghanes est «aussi proche que jamais». «Toutes les parties doivent travailler pour se rendre à la table des négociations dès que possible, pour empêcher les opposants de saper le processus et de trahir les espoirs du peuple afghan et son désir de paix», a déclaré le diplomate.

6.États-Unis — Irak

Les États-Unis continueront de réduire leur présence militaire en Irak dans les prochains mois et discuteront avec Bagdad du statut des troupes américaines restantes dans le pays, indique une déclaration conjointe américano-irakienne sur les résultats des négociations dans le cadre du dialogue stratégique que les parties ont eu jeudi. Le document a été distribué par le service de presse du Département d’État. «Les Etats-Unis ont réitéré qu’ils ne recherchent pas une présence militaire permanente en Irak et ne demandent pas de bases [militaires] permanentes», indique le communiqué. Les négociations se sont déroulées en mode visioconférence, la délégation américaine était dirigée par le sous-secrétaire d’État aux Affaires politiques, David Hale.

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