Provocations de radicaux en Syrie

  
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1. Syrie

Le chef du Centre russe pour la réconciliation des parties belligérantes en Syrie, contre-amiral Alexander Schtscherbizki, a déclaré que les terroristes avaient préparé au moins 15 engins explosifs contenant des substances toxiques inconnues afin d’effectuer des provocations dans des localités syriennes. Selon des informations provenant de la population locale, les radicaux du groupe terroriste de Hayat Tahrir al-Cham (interdit en Russie) «prévoient d’effectuer une provocation dans la zone des localités de Sfukhon, Fatterah et Fleifel dans le gouvernorat d’Idlib afin d’accuser les forces gouvernementales d’utiliser des armes chimiques», a déclaré Schtscherbizki. Il a également indiqué que cinq bombardements avaient été effectués par les terroristes du Front al-Nosra (interdit en Russie) dans le gouvernorat d’Idlib, un dans celui de Lattaquié et un autre à Alep.

2. ONU — Syrie

Le Conseil de sécurité n’a pas accepté le projet de résolution proposé par la Russie sur la livraison de l’aide humanitaire à la Syrie via un seul point de contrôle à la frontière turque, a rapporté l’agence de presse TASS citant une source onusienne. «Sept pays ont voté contre la résolution, quatre ont soutenu le document, quatre se sont abstenus. Ainsi, le document n’a pas été adopté», a déclaré l’ambassadeur d’Allemagne auprès des Nations Unies, Christoph Heusgen, président du Conseil de juillet. La Russie, la Chine, le Vietnam et l’Afrique du Sud ont voté pour la résolution proposée par la Russie. L’Indonésie, le Niger, Saint-Vincent-et-les Grenadines et la Tunisie se sont abstenus. Le Royaume-Uni, les États-Unis, la France, la Belgique, l’Allemagne, la République dominicaine et l’Estonie ont voté contre. Auparavant, le représentant permanent de la Russie auprès de l’ONU, Vassili Nebenzia avait fait savoir que Moscou considérait nécessaire de réduire progressivement le mécanisme d’assistance transfrontalière pour la Syrie, car la situation en république arabe avait changé au cours des six années de son fonctionnement. Maintenant, un plus grand nombre de régions du pays sont sous le contrôle de Damas. L’assistance à la Syrie ne peut être fournie que par accord avec Damas.

3. Syrie.

La partie russe de la commission russo-turque chargée d’examiner les questions liées aux violations de la cessation des hostilités a enregistré sept violations en 24h, alors que la Turquie en a enregistré une. La partie russe a fait état d’une violation à Idlib, de trois à Alep et de trois à Lattaquié. La partie turque en a enregistré une dans le gouvernorat de Lattaquié, selon le rapport. Il est également signalé qu’au cours de la dernière journée, la partie russe a organisé deux actions humanitaires dans les gouvernorats d’Idlib et de Deir Ez-Zor.

4. Iran — États-Unis

Téhéran a démenti les allégations du département d’État américain selon lesquelles la partie iranienne aurait fourni des armes aux rebelles houthis, a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Abbas Moussavi. Et de poursuivre que les États-Unis tentaient de justifier, par des accusations et des mensonges, l’extension de la politique de «pression maximale et la réalisation de ses mauvaises intentions», car «ils sentent qu’ils ne sont pas en mesure de maintenir l’embargo sur les armes contre l’Iran». Auparavant, le secrétaire d’État américain Mike Pompeo avait annoncé que les Américains et leurs alliés avaient arrêté en juin un navire qui avait livré des armes iraniennes aux rebelles houthis. À cet égard, Pompeo a appelé le Conseil de sécurité des Nations Unies à prolonger l’embargo sur les armes contre Téhéran.

5. La Corée du Sud

Jeudi, l’envoyé spécial américain pour la Corée du Nord, Stephen Bigan, et le conseiller principal à la sécurité nationale du président sud-coréen, Suh Hoon ont discuté à Séoul des moyens de réduire les tensions dans la péninsule coréenne et de reprendre le dialogue avec la Corée du Sud, a relaté l’agence Yonhap en citant des sources. Auparavant, Bigan avait souligné que Washington était prêt à reprendre le dialogue avec la Corée du Sud «à tout moment». Selon lui, les États-Unis sont toujours «pleinement impliqués» dans les efforts visant à instaurer une paix durable dans la région. En outre, l’envoyé spécial a réaffirmé l’engagement de Washington de protéger la Corée du Sud de toute menace extérieure.

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