Une attaque aérienne contre un aérodrome militaire en Syrie

  
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Selon l’agence SANA, les moyens de la défense antiaérienne de la Syrie ont repoussé une attaque de roquettes contre un aérodrôme militaire dans l’est du gouvernorat d’Homs. Les avions israéliens ont porté des frappes de la part de la zone d’al-Tanf, près de la frontière, où une base américaine était déployée. L’aérodrôme militaire T-4 a fait cible de l’attaque. Les moyens de la défense antiaérienne ont ouvert le feu contre l’ennemi en atteignant la plupart des roquettes, dit une source au sein du commandement de la république, cité par l’agence. Seuls des dégâts matériels ont été causés, il n’y a pas de pertes parmi les militaires.

L’agence SANA relate qu’une mine terrestre a explosé près de la localité d’al-Hamraa, dans le nord-est du gouvernorat syrien d’Hama. Un civil est mort, 15 ont été blessés. Selon l’agence, la mine avait été posée par les membres d’une organisation terroriste. On ne fournit pas d’autres détails.

L’agence SANA citant une source militaire informe que les forces aériennes d’Israël ont porté des frappes sur les positions de l’armée syrienne au sud de Damas. Deux soldats sont morts, sept ont été blessés. « L’aggression a été perpetrée de la direction du mont Hermon et des hauteurs du Golan occupées par Israël. Les artilleurs antiaériens syriens qui ont ouvert le feu contre les cibles aériennes, ont réussi à frapper plusieurs roquettes de l’ennemi », — informe la source. La chaîne Al Hadath relate que les frappes ont été portées par l’aviation israélienne qui a attaqué des dépôts de munitions des formations chiites dans le secteur de l’aéroport international de Damas.

Des protestations ont eu lieu dans la capitale libanaise. Selon TASS, la police a employé le gaz lacrymogène contre les activistes, au centre de Beyrouth. Les manifestants ont tenté de percer les cordons de police et atteindre le palais du parlement sur la place Etoile. Il y a des blessés suite aux affrontements, ils ont été évacués par la Croix-Rouge libanaise. Les manifestants se sont réunis sur la place des Martyrs pour demander la tenue des élections parlementaires anticipées et la démocratisation du système de l’administration de confession. La manifestation a porté un caractère paisible. Les participants ont protesté contre la désignation de Moustapha Adib au poste de premier-ministre. Mardi, les affrontements ont également eu lieu dans le district de Ras el-Nabaa, non loin de la résidence de l’ambassadeur de France. La police a employé les matraques en repoussant la foule de la chaussée.

Des protestations d’envergure ont eu lieu à Sofia, la capitale bulgare, lors de la première journée de l’activiré du parlement bulgare après les vacances d’été. Selon TASS, les manifestants ont jeté des objets sur la police qui a encerclé le siège du parlement. Trois personnes ont été blessées, dont deux policiers. Un jeune homme a été blessé par une bouteille jetée sur les policiers. Il a été hospitalisé en ambulance. La police a employé le gaz lacrymogène et a commencé à arrêter des gens. Des milliers de personnes se sont réunies à la manifestation, ça fait 56 jours qu’ils demandent la démission du gouvernement avec Boyko Borisov en tête, aussi bien que celle du procureur général Ivan Geshev. Le blocage policier a été organisé, dans la nuit, autours du nouveau siège du parlement. Le président bulgare Rumen Radev et la vice-présidente Iliana Iotova ont librement traversé les rangs des manifestants, accueillis par des applaudissements et des cris d’approbation.

Selon Die Welt citant des sources, l’UE ne va pas inclure le président biélorusse Alexandre Loukachenko dans la liste de personnes soumises aux sanctions. L’Allemagne, la France et l’Italie se sont opposées contre l’adoption des sanctions. Ces pays croient que « malgré toutes les circonstances, il faut garder les canaux de communication avec Loukachenko ouverts », car son inclusion dans la liste noire représenterait la cessation du dialogue avec Minsk. Ce sont les pays baltes et la Pologne qui ont voté pour l’adoption de restrictions contre le président biélorusse. Plus tôt, l’ambassadeur des Etats-Unis auprès de l’OSCE James Gilmore avait communiqué à la revue Foreign Policy qu’il fallait persuader Alexandre Loukachenko qu’il ne pouvait pas être le président dans les conditions actuelles. Gilmore avait également souligné qu’il était toujours « profondément préoccupé » par l’éventuelle intervention de la Russie en Biélorussie pour soutenir Loukachenko.

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