L’Iran répondra au meurtre de Soleimani

  
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1.Iran

Le porte-parole du gouvernement iranien, Ali Rabii, a déclaré que l’Iran répondrait aux États-Unis à la suite de l’assassinat du commandant de l’unité d’élite des forces iraniennes Al-Qods, Qassem Soleimani. «Les États-Unis ont franchi la ligne rouge, la nation iranienne y répondra de manière décisive au bon moment», a déclaré Rabii. Le général Qassem Soleimani a été tué à la suite de frappes aériennes américaines à l’aéroport international de Bagdad. L’ayatollah Ali Khamenei, guide suprême de la Révolution islamique, a nommé le général de brigade Ismael Qaani commandant des forces spéciales d’Al-Qods. Auparavant, il était l’adjoint du général Soleimani.

2.Irak

Abdul Karim Khalaf, porte-parole officiel des forces armées irakiennes, a déclaré que les autorités de l’État n’étaient pas au courant de la prochaine frappe aérienne américaine contre Bagdad. Il a qualifié les actions des États-Unis de violation flagrante de la souveraineté irakienne et de négligence de la coopération entre les forces armées irakiennes et la coalition. «Les forces armées du pays sont prêtes à subir les conséquences de cette frappe aérienne», a-t-il déclaré. En outre, les deux plus grands blocs du parlement irakien ont appelé à l’adoption d’une loi sur le retrait des troupes étrangères du territoire irakien.

3.États-Unis

Dans une interview accordée à CNN, le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a déclaré que les États-Unis étaient prêts à toute réponse iranienne possible à l’assassinat du général Qassem Soleimani. «Nous avons identifié de nombreuses options. Et nous sommes prêts pour toute réaction possible de l’Iran», a déclaré Pompeo. Il a également fait savoir que les États-Unis continueraient de protéger leurs intérêts en Irak et la souveraineté de ce pays. Le département d’État américain a indiqué que lors d’une conversation téléphonique avec Yang Jiechi, plus haut responsable du Parti communiste chinois pour la politique étrangère, «le secrétaire d’État américain a souligné que les États-Unis restaient attachés à la désescalade dans la région».

4.Tadjikistan-Afghanistan

Le Bureau du programme de l’OSCE à Douchanbé a lancé un projet de stabilisation de la frontière sud du Tadjikistan avec l’Afghanistan, a fait savoir à RIA Novosti le secrétaire de presse du bureau, Munira Choinbekova. Selon elle, le projet vise à accroître le potentiel professionnel des services frontaliers du Tadjikistan et de l’Afghanistan pour lutter plus efficacement contre les activités illégales dans les zones frontalières. Le projet sera mis en œuvre dans un délai de 18 mois.

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